FLEXCREDIT ET L’UNIVERSITÉ D’ANVERS SPONSORISENT UNE THÈSE EN MASTER

Le paiement tardif ou le non-paiement de factures est un problème extrêmement important pour les entreprises belges. Actuellement, au moins une facture sur trois est payée avec retard. De nombreuses entreprises sont dès lors contraintes d’annuler une grande partie de ces factures, étant donné que la probabilité de les percevoir diminue à mesure que les retards de paiement s’allongent.

C’est surtout le secteur B2C qui est vulnérable. Effectuer un contrôle de crédit de ces clients, comme on le connaît dans le secteur B2B, est presqu’impossible et il requiert énormément de temps pour garantir la perception des factures B2C.

De nombreuses entreprises se couvrent en exigeant de plus en plus le paiement au comptant dans ce secteur du marché. Les détaillants en ligne étaient jusque très récemment à l’abri de ce fléau. Étant donné que le consommateur doit toujours payer à l’avance par VISA/BANCONTACT/VIREMENT, le taux d’annulation était nul.

Curieusement, de plus en plus de détaillants en ligne choisissent de malgré tout faire crédit à leurs clients. La grande question est de savoir si la valeur (ajoutée) en termes de marketing liée à cette tendance compense les pertes possibles dues au paiement tardif ou au non-paiement de ces factures. C’est pourquoi FlexCredit sponsorise avec l’Université d’Anvers une thèse en master afin d’avoir plus de clarté dans cette matière.